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5 juin 2010 6 05 /06 /juin /2010 23:21

    Les médias français ont beaucoup jasais sur la natalité miraculeuse de la population française et les hommes politiques de notre pays se félicitent souvent de cette situation présenté comme avantageuse à long terme. Mais la réalité crue c'est que la natalité française n'est pas bonne, elle est juste moins mauvaise qu'ailleurs sur le continent, c'est un peu comme si l'avant dernier de la classe se félicitait qu'il y est un élève plus médiocre que lui.

 

    Je ne vais pas ici disserter sur l'influence de l'immigration sur les "bons" chiffres français, s'il est indéniable que les immigrés trucs en partie les chiffres on est en vérité bien loin des fantasmes de l'extrême droite. Pour le montrer il suffit de  comparer la carte de la natalité des départements français avec la répartition des musulmans sur le sol français voir les deux cartes dessous. Avouons franchement que la corrélation n'est pas aussi clair que ce que disent le journaliste Eric Zemmour ou les partisans de madame Le Pen . Certains départements avec une forte proportion d'étrangers possèdent effectivement une forte natalités, mais ils y en a qui ont peu de musulmans et une fortes natalités. On a aussi des départements avec beaucoup  de musulmans et une faible natalité comme en Alsace. Alors tout les immigrés ne sont pas musulmans certes, mais la Bretagne par exemple n'a que peu d'immigrés quelques soit leur origine elle a pourtant une natalité des plus correcte.

 

natDepartements.pngrepartition-musulmans-france1.jpg

 

Donc globalement et contrairement à ce certain croient être la réalité, la natalité française ne doit pas sa "bonne" tenue à son immigration ou à la sur-fécondité des femmes immigrés, bien sure cela n'exclus pas de sérieux problèmes locaux, comme dans le 93, de sur-concentration démographique d'origine étrangère. Et d'ailleurs ce genre d'affirmations semble oublier que l'Allemagne ou l'Italie ont aussi des immigrés leur chiffres sont donc tout autant déformé que les notre en la matière. Pour en revenir à la natalité globale du pays il faut également souligner que notre démographie n'est en aucun cas dynamique, elle est même insuffisante à la reproduction à un pour un de la population.

 

  Une chose est tout de même frappante sur la première carte c'est l'incroyable disparité de la natalité nationale, une disparité qu'il est tout de même assez difficile d'expliquer. D'autant plus que la politique en matière de natalité est la même pour tout les citoyens français, les allocations familiales, les aides sociales ou la gratuité des crèches et autres systèmes pour facilité la compatibilité entre la vie familiale et le travail est identique dans l'Hérault et la Mayenne pourtant la Mayenne à une fécondité supérieure de prés de 25%.

 

Alors pour expliquer le phénomène j'ai voulu comparer la carte de la fécondité avec celle de la carte des structures familiales d'Emmanuel Todd que vous pouvez retrouver dans "La nouvelle France" ou dans "Le destin des immigrés" il me semble. Étant un franc adepte des théories de Todd je savais que les familles souches pouvaient avoir une fécondité inférieure à celle des familles nucléaire une fois la transition démographique franchit,  la fécondité s'effondrant pour les nations à forte composante de famille souche exemple l'Allemagne le Japon ou la Corée du Sud. La France est une nations composite dont les structures familiales sont pour une grande partie du nord et du bassin parisien nucléaire égalitaire et pour le sud plutôt souche et autoritaire.  Et bien la comparaison n'est pas des plus éclairante certaine régions souche comme l'Alsace vont dans le sens de l'analyse toddienne d'autre non. On a aussi des régions nucléaires égalitaires où la natalité est digne d'une région souche. Cela n'invalide pas forcement les thèses de Todd mais il faut bien voir que la population française se déplace de plus en plus et qu'il est possible que les mouvements massifs de population est altéré globalement l'image que nous avions de la répartition des structures familiales sur le territoire. Des familles souches se sont probablement installées dans des régions égalitaires et inversement rendant la vision géographie des choses fortement confuse.

 

En tout cas le pays des jacobins n'a toujours pas réussit l'homogénéisation territoriale, la France restant une nation de forte variation sur le plan géographique et démographique. Et malgré tout les efforts pour en faire une nation homogène on voit des pôles dynamiques démographiquement et d'autres largement en perte de vitesse. Le poumon démographique étant le nord-ouest et le sud-est, or la démographie a un rôle particulièrement important sur le plan économique à long terme il est probable que les région jeunes dominerons celles qui vieillissent.

 

Rajout de dernière minute la carte des structures familiales françaises issue du livre d'Emmanuel Todd "L'invention de l'Europe" (merci google). Le lien entre les structures familiales et la fécondité est ici un peu confus surtout pour les régions souches le sud-ouest est plus fécond que le sud-est les structures familiales sont pourtant aussi des familles souches. De la même manière on retrouve des régions de famille égalitaire avec un faible taux de fécondité.

 

todd-espace-francais-contre-revolutionnaire-carte.117733268.jpg

 

 

Un espoir pour le 21ème siècle reconstruire la puissance française

 

Une grande part du déclin du continent européen n'est pas dans son organisation économique ou dans des tares qui seraient propre à nos sociétés, mais bien plus dans l'évolution démographique du continent. Tout comme le déclin relatif de la France au 19ème siècle l'Europe souffre d'une démographie dramatiquement basse et ce depuis plusieurs décennies. Or un déclin démographique est l'assurance d'un déclin économique quelque soit l'efficacité d'organisation d'une société la situation allemande est de ce point de vue assez éclairante. Il ne s'agit bien évidement pas de réclamer une expansion infinie de la population européenne mais au moins de stabiliser la situation démographique actuelle.

 

Le continent Européen a aussi pour caractéristique une grande disparité dans la densité de population certaine nation sont largement plus peuplé du point de vue de la densité que d'autre. Ainsi nos amis allemands ont-ils une densité de population de 230 habitants par km², les hollandais ont une densité de population de 393 habitants au km², la Grande-Bretagne elle a 252 habitants au km². La France elle n'a que 105 habitants au km². La nations française est donc faiblement peuplé comparé à ses voisins directs, même l'Italie à une densité double de la notre. Notre nation ne pèse donc pas le poids qu'elle devrait peser sur le continent et pourrait très bien accueillir une population double de celle qui la peuple à l'heure actuelle, n'en déplaise aux écologistes. Une France de 120 ou 130 millions d'habitants voila de quoi mettre fin définitivement à la petitesse que certains déplorent pour mieux justifier leur laissez allé naturelle.

 

fecond.png

 

Soyons fou et fixons nous comme objectif de rendre à la France son poids international en amenant sa démographie à au moins 100 millions d'individus d'ici 2050 ou 2060. Est-ce un rêve impossible? En excluant l'immigration comme solution, on peut effectivement croire qu'il s'agit là d'une impossibilité pourtant l'histoire est là pour témoigner du contraire. La France elle même a déjà réussit l'exploit d'inverser un déclin séculier par l'action constante et volontaire de la puissance publique à la fin du 19ème siècle la France avait une natalité de seulement  2.2 enfants par femme à une époque ou la mortalité infantile était nettement plus haute, la France voyait des années négatives en terme d'évolution de la population. Les élites françaises bien conscientes du problème et voyant le résultat sur le rapport de puissance entre la France et ses voisins, décidèrent d'y mettre fin par des politiques natalistes, et les résultats furent relativement rapides puisque la natalité avant guerre était déjà supérieure à celle de l'Allemagne après guerre nous eûmes des 2.7 enfants par femme ce fut le fameux babyboom. Le général De Gaulle faisait d'ailleurs de la natalité l'un des axes majeurs de sa politique signe de l'importance du sujet. Pourquoi ne pourrions nous pas ré-atteindre cet objectif de 2.6-2.7 enfants par femme, certaines études montrent que le désir des femmes françaises se situe même aux alentours de 3 au dessus de cet objectif finalement modeste.

 

Cette accroissement de la natalité comme remède au pessimisme général qui nous ronge est d'ailleurs déjà pratiqué ailleurs. Le blogueur dissonance vient de faire un excellent texte sur l'évolution de la démographie Russe qui montre que les politiques de relances ne sont en rien inefficace bien au contraire. La Russie vient de dépasser l'Allemagne en terme de natalité après avoir pourtant sombré dans des fonds jamais atteint par une société humaine.  Si la Russie partie de si bas arrime à remonter la pente pourquoi pas la France qui n'a jamais connu une natalité aussi basse. Une politique de redressement de la nation ne pourra pas éviter cette question, d'autant que l'on voit bien que malgré l'union des européens notre poids ne cesse de diminuer seule une dynamique démographique nous permettra de reprendre du poids. A l'échelle internationale une union de pays peuplés de vieux retraités ne pèsent rien. Alors pourquoi pas une France de 100 millions d'habitants en 2060 chiche.

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commentaires

Y
<br /> Croissance du PIB du Benetland 0,4% oui mais croissance du troupeau 0,7% (du à l' immigration et sa natalité (record dans le 93), d' où baisse du PIB par habitant -0,3%<br /> <br /> "1996-2010 : Immobilier en Allemagne -24%, au Japon -21%, inversement proportionnel à la natalité. Croissance démographique du benêtland 0,7% /an due à l' immigration. Selon une étude de l'Insee,<br /> la superficie de l'espace urbain en benêtland a progressé de 19% en 10 ans. Bientôt un trottoir de Valence à Chamonix avec plein de poubelles de 4 couleurs différentes." Extrait 'Le bétonnage<br /> bien pensant du Benêtland' Éditions Impériales http://mobile.agoravox.fr/actualites/environnement/article/les-bebes-betonneurs-103845<br /> <br /> "En 2009 sur 824 641 naissances en Benêtland, 223 473 étaient d'au moins un parent étranger (sans compter les naturalisés donc). L'origine subsaharienne assure un taux<br /> d'emploi de 53% (principalement smicard) mais 4,07 enfants cafistes (coût pour le contribuable 7000€/an/enfant juste pour l' école ...). Sans étranger, impossible d'avoir, comme disait<br /> Marx, nos divisions de réserve d'esclaves ... aux frais du contribuable. Comme l'a dit notre valet nain, c’est une bonne nouvelle parce que, dans trente ans, le Benêtland sera plus nombreux que<br /> l’Allemagne, (à la rue économiquement, à cause de sa faible natalité).' Un Benêtland heureux avec 100 millions de benêts dans une fourmilière en béton, c'est ce qu' avait déjà dit notre valet<br /> Debré (le père du glandeur actuel). La superficie de l'espace urbain en métropole a progressé de 19% en 10 ans atteignat 22%. Du coup il faut penser à gazonner des aéroports<br /> privés, pour partir en jet écolo, dans nos îles du Pacifique." La Tribune des Seigneurs Capitalistes.<br /> http://www.insee.fr/fr/themes/tableau.asp?reg_id=0&ref_id=NAISLIEUNAISPAR http://www.ined.fr/fichier/t_telechargement/35196/telechargement_fichier_fr_dt168.13janvier11.pdf<br /> http://www.insee.fr/fr/ffc/docs_ffc/ip898.pdf<br /> http://www.youtube.com/watch?v=384w9Nmg9_w<br /> <br /> <br /> Les BOBOISTES BETONNEURS<br />
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D
<br /> <br /> Et pr ceu ki on peur des conséquences sociales et économik de ce déclin démographik, dites-vs ke sè peu tètre bien le moment de réformé radicalement nos système sociaux et économik et en mettre<br /> en place de nouveaux plus efficaces ke ceu daujourdui ki me semble avr fè leur temps au vu de leurs carences grandissantes.<br /> <br /> <br /> Une société basée sur le renouvellement des ressources ainsi que sur le partaje égales des richesses (ainsi ke tte autre forme de partaje d'ailleurs) et non plu sa simple production (via la<br /> destruction des ressources naturelles). Et je crois ke les évolutions démographik actuelles a la baisse continue st la pr ns invité a emprunté se chemin prometteur, ds nos esprit ainsi que ds la<br /> réalité.<br /> <br /> <br /> On dit svt ke tt ski monte finit tjrs par redescendre, sè timparable...<br /> <br /> <br />  Il en sera très probablement de mème pr notre démographie...<br /> <br /> <br /> <br />
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D
<br /> <br /> Pk constamment considérer tte diminution démographique comme néfaste ? Ne serait-il pa plu judicieu de se dire kune diminution démographik est au contraire qqch de très positif pr la<br /> pérennité du genre humain ? Les gens ont tendance a considérer tte forme de croissance kelle soi démographik, économik ou autre comme positive et de facto tte forme de décroissance comme<br /> négative.<br /> <br /> <br /> Sè vite oublié ke la croissance démographik ainsi kéconomik d'ailleurs a comme conséquence une destruction de notre environnement ainsi que de nos ressources naturelles, ce ki bien sur signera<br /> notre perte si ns laissons le processus se poursuivre juska terme. Kk bouches en + sur Terre (notamment en Occident) vt produire et consommer et dc accéleré la destruction de notre<br /> planète au vu de notre système économik & social actuel.<br /> <br /> <br /> Je soutiens dc le pt de vue totalement inverse du votre : a savoir, kune réduction de la population de tous les pays, au moin au chiffre d'avt la transition (ce qui frait une population<br /> de 25 millions dabitants en France) serait une excellente chose si ns voulons ke les générations futures puisse a peu prè bien vivre. Faire des enfants peut être 1 bonne chance si on<br /> est au moins capable de leur assurer un avenir viable. Or, en l'état actuel des choses, je doute ke sa soit le cas dc jestime ke faire des enfants aujourdui s'apparente a de l'irresponsabilité et<br /> ou ke se soit d'ailleurs, lorskon nè au courant des dangers futurs et de plus en plus présent d'ailleurs (sic).<br /> <br /> <br /> Du reste, jé tendance a pensé ke cette évolution démographik est inévitable et ke les changements st déja engagés et se poursuivront. Au vu de mes propres calculs, jestime ke la population<br /> mondiale atteindra un pik vers 2045 a environ 8,4 Milliards d'abitants et kensuite un déclin, ki durera peut être plusieurs siècles, se profilra a lorizon peu apré se pic.<br /> <br /> <br /> L'avenir ns dira si j'me suis trompé ou non...<br /> <br /> <br /> Et en attendant, soyez reponsables... <br /> <br /> <br /> RDV ds 35 ans dc ? ^^<br /> <br /> <br /> <br />
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A
<br /> <br /> @ Yann et Bertrand<br /> <br /> <br /> Au contraire, la géographie humaine est tout d'abord déterminé par la géographie physique. Plus un territoire est densément peuplé, mieux il est équipé et aménagé, donc plus il<br /> est attractif. Ce phénomène a tendance à s'auto entretenir, "l'eau va à la rivière". Bien entendu, il peut y avoir d'autres causes jouant dans un sens ou dans un autre. La situation n'est pas<br /> immuable, mais une modification massive de la répartition de la population française décidée "d'en haut" me semble utopique.<br /> <br /> <br /> Par exemple, la domination de Paris héritée des Capétiens vient en bonne partie de la géographie physique. Paris est au centre d'un bassin sédimentaire très fertile permettant de<br /> produire des surplus agricole nécessaires pour entretenir un état centralisé, donc nécessairement une administration relativement nombreuse. De plus, par sa position centrale dans le bassin du<br /> même nom, Paris se trouve à un nœud de communication et contrôle l'accès à la mer via la Seine.<br /> <br /> <br /> Le Bassin Parisien, son hinterland naturel rassemble un bon tiers de la France, la plus fertile et donc la plus peuplée, et sans pôle capable de l'équilibrer. Le reste du pays<br /> étant beaucoup plus compartimenté par le relief, aucune autre région ou métropole n'a pu atteindre une masse critique suffisante pour l’équilibrer, faute d’hinterland comparable.<br /> <br /> <br /> Tout ça pour dire que les choses n’étaient pas écrites d’avance, mais les effets de la géographie physique sont loin d’être négligeable.<br /> <br /> <br /> Des monnaies locales me semblent une idées dangereuse, cela pourrait renforcer les régionalismes et les forces centrifuges.<br /> <br /> <br /> Sur la natalité, je maintient que le baby boom s’explique en partie par le rattrapage de fécondité. Ne prenons pas non désirs pour des réalités.<br /> Je viens d’ailleurs juste de lire "Le Rendez-vous des Civilisations", et les auteurs y montrent bien que les<br /> politiques influencent très difficilement la fécondité, tant à la hausse (Iran) qu’à la baisse (sous-continent indien). Il me semble peut probable d’accroître celui de la France de plus de quelques<br /> dixièmes, ce qui serait déjà très bien. Je ne pense pas que le désir d’enfant s’influence comme celui de gadgets divers et variés. Pour Séguéla, merci de me faire rire, aujourd’hui j’en avait bien<br /> besoin.<br /> <br /> <br /> <br />
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Y
<br /> <br /> @Aluserpit<br /> <br /> <br /> Je suis d'accords avec Bertrand, je crois que la répartition de la population française est plus liée à la répartition de l'emploie qu'à la question géographique. Quand à le région parisienne<br /> c'est la volonté politique qui depuis la Royauté n'a eu de cesse de concentrer les richesses en île de France afin de garantir l'unité du pays. Par contre je ne nie pas qu'il soit difficile de<br /> mieux répartir la population sur le territoire. La politique de décentralisation n'a pas réussit par exemple à inverser la tendance la région parisienne continuant à engloutir un tiers du PIB et<br /> un sisième de la population française.<br /> <br /> <br /> Pour dynamiser les régions on pourrait pourquoi pas utiliser des monnaie régionale histoire de favoriser telle ou telle région par rapport à une autre et ainsi rééquilibrer à long terme le<br /> territoire sur le plan démographique en sachant que la population suit les emplois. C'est quelque chose que j'avais abordé dans un texte précédent consacré à la question des monnaie<br /> fondantes et locales.<br /> <br /> <br /> Sur la natalité je ne suis pas aussi pessimiste sur les capacité d'un état à renverser les tendances. On pourrait même imaginer d'utiliser les moyens marketing moderne pour inciter les couples à<br /> avoir des enfants. Si les publicitaire arrivent à convaincre les gens que l'achat de gadget électronique  et de télé grand écran est essentiel à leur vie alors ils pourront peut-être les<br /> convaincre d'avoir plus enfants. Utilisons les mécanismes de propagande moderne issu de la publicité à des fin non commerciales et d'intérêt publique. Fait des enfants çà rend plus sexy,ou <br /> si t'as pas de gosse à 50 ans t'as raté ta vie... faut demander à Jacques Séguéla il a le sens de la formule.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> @La Rose Blanche<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> J'ai rajouté la carte des structures familiales chacun pourra juger sur pièce. Il me semble qu'il y a quand même beaucoup d'exceptions, il faudrait rentrer dans les détails et cela risquerait de<br /> prendre pas mal de temps. Cette question de fécondité est de toute façon multi-factoriel, il est peu probable que les structures familiales seules expliquent les divergences territoriales. De la<br /> même manière que les aides sociales et familiales n'expliquent pas les différences entre les natalités des différents pays européens.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
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